▬ Praesidium Nocturnus;
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 - i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb »

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Bonnie c. Brightside
- élève de 3ème année -
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Bonnie c. Brightside


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« R<u>ace</u>. : — metamorphomage
« P<u>hoto d\'identité</u>.<center& : -  i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb » 090124111353769159
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MessageSujet: - i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb »   -  i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb » EmptyDim 25 Jan - 3:27

    « bonnie callum brightside; »
    — dite, bb

    -  i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb » Rb2
      hold on;
      « she's mad but she's magic.
      there's no lie in her fire
      .
      »

        feat. rachel bilson

    (…)
      bonnie callum - BRIGHTSIDE - du haut de son petit mètre cinquante-cinq parvient à se faire respecter sur tous les sujets à l’exception de ce qui concerne les surnoms. étrangement, les gens ont une tonne de petits noms à lui donner mais celui qui revient le plus souvent est « bb » car… si en général, seuls les personnes dont le nom et le prénom commence par un J ont le droit à ce rappel, les amis de la jeune sorcière ont trouvé drôle de la nommer ainsi car c’est ce que donne ses initiales. résultats : tous ses amis la surnomment ainsi sauf que, bien souvent, à force de l’entendre appeler ainsi, tout le monde en a prit l’habitude. parfois même les gens qu’elle n’apprécie guère. Malheureusement pour eux, ce surnom déplait fortement à la jeune fille. - inutile de préciser que bb peut aussi être considéré comme l’abréviation de baby ou babe - Alors, quand il s’agit d’une personne dont elle est proche, elle évite de l’assommer à coup de sorts mais quand c’est l’un de ses ennemis, elle le prend… un peu moins bien. alors méfiez-vous de la manière dont vous l’appelez, à moins de vouloir finir empaler à la masse d’un troll ?
        quoi qu’il en soit, elle nait le vingt-et-un mars, à Cardiff (uk).


matière favorite: malgré le fait que le fait qu’elle soit métamorphomage lui permette de se transformer elle-même, il semblerait que cela lui donne quelques facilités en plus par rapport aux autres en ce qui concerne la métamorphose. Il est donc clair qu’en bonne flemmarde qu’elle est, cette matière s’avère être celle qu’elle préfère puisqu’elle n’y a pas le moindre effort à fournir sinon celui de retenir les formules.
matière détestée: si la sorcière fait des miracles en métamorphose où il lui suffit d’un essaie pour exécuter un sort à merveille, c’est loin d’être le cas en enchantement. elle va même jusqu’à juger ce cours d’inutile (certes, ce n’est que de la mauvaise fois car elle déteste échouer à quelque chose). mais n’allez pas non plus vous imaginer qu’elle ait les pires notes de sa promotion, non, bien sûr que non mais disons plutôt que c’est l’enseignement qui lui demande le plus d’application et d’efforts.
baguette magique: achetée chez « olivander’s », la seule et unique baguette qu’eut Bonnie est faite à base d’Aulne, d’une serre de phœnix et mesure environ quinze centimètres (plutôt petite comme baguette mais vu la taille de sa propriétaire, ce n’est pas étonnant). Il est bien rare de la voir séparer de sa « Noxie ». Oui, elle lui a donné un nom depuis que le vendeur lui a fait un speech sur le fait que c’est la baguette qui choisit son sorcier, ’Nie est persuadée que ce morceau de bois est vivant. Néanmoins, n’étant pas d’une nature très délicate, elle a manqué à plusieurs reprises de la briser en deux et, c’est sans doute ce qui explique que le morceau de bois soit légèrement… tordu.
année scolaire: troisième année.
idée de métier: elle aspire à devenir quidditcheuse professionnelle chez les Harpies de Holyhead - au passage, le premier qui insulte cette équipe risque de le regretter car elle est l’une de leur plus grandes supporteuses - mais, elle a bien conscience qu’elle n’est pas la seule de vouloir faire de cette activité un métier alors, pour paraitre raisonnable - ce qu’elle n’est pas, elle prétend vouloir devenir auror ce qui, je vous l’accorde, n’ait guère beaucoup plus originale ou même plus réalisable.



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pseudo ou prénom: marion.
niveau rp: correct.
présence sur le forum: aussi fréquemment que possible.
code du règlement: la nuit est obscure, tout comme mon âme
comment avez vous trouvé le forum: par prd.
avatar réserve: Rachel Bilson
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Bonnie c. Brightside
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MessageSujet: Re: - i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb »   -  i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb » EmptyDim 25 Jan - 3:39


        « falling awake; »
          — « il n’y a aucun remède contre la naissance et la mort,
              sinon de profiter de la période qui les sépare. »

    Dehors, il ventait comme jamais. Les arbres aux branches dénudées semblaient agiter leurs bras frêles comme s’ils appelaient au secours, craignant d’être emportés, déracinés par ce souffle glacé. Les feuilles rougeâtres qui les avaient désertées dansaient dans les airs, dans une ronde effrénée menée d’une main de maitre par les hurlements de cette rafale.
    A cela s’ajoutait un son répétitif qui marquait chaque temps de la complainte des éléments. Ce n’était autre que lui bruit incessant de la pluie tombant en milliers de gouttes qui achevaient leur course sur le sol. Il pleuvait à torrent et dans cette situation, cette expression prenait tout son sens : dans les caniveaux, des centaines de petits cours d’eau déferlaient dans la même direction. Ce temps triste, bien que si agréable à écouter, n’avait rien d’extraordinaire pour les habitants d’Inverness et pas plus pour les habitants de Cardiff qui s’y étaient rendus spécialement pour la naissance d’une nouvelle Brightside. Il n’y était que trop habituée et plus personne ne semblait y faire attention. Les gens se contentaient de ne pas sortir de chez eux, et de mettre les objets précieux en hauteur au cas où une inondation pointerait le bout de son nez.

    Il n’y avait qu’une personne qui osait défier la météo, un homme à la carrure impressionnante mais aux traits fins qui fumait une cigarette dans l’arrière cours de l’hôpital. A l’abri sous la tonnelle, il ne cessait de regarder sa montre, et remettait nerveusement son écharpe en place dès qu’il en avait l’occasion. Puis d’un geste dédaigneux, après un dernier soupire, il rentra dans la battisse. Il détestait ce genre d’endroit, ça ne faisait que lui rappeler de mauvais souvenirs… ainsi, ce fut en trainant les pieds qu’il avança dans le couloir.

    De l’autre côté du mur, il entendait quelqu’un hurlait à s’en briser la voix. C’était sa femme. Il aurait dut être à ses côtés comme ça avait été le cas un an plus tôt, quand son épouse avait accouché de leur première enfant. Seulement, cette année, toute la famille avait voulu faire le voyage pour voir le joli poupon qui allait sortir de sa bien-aimée et, chacun voulait être présent lorsqu’elle mettrait le bambin au monde… Il avait du laisser sa place à sa mère - qu’il n’appréciait guère et qu’il jugeait trop fermée mais à qui il témoignait un certain respect. Cela n’était pas ce qui le gênait le plus, ce qui l’embêtait le plus était la présence du reste des Brightside, son père, ses frères et ses cousins.

    Tout le monde était présent, pariant sur le poids ou bien la taille de l’enfant à naître. Ce n’est pas qu’ils ne les aimaient pas, non... Disons simplement qu’il était encore amer de la réaction qu’ils avaient tous eu - sans exception - quand il leur avait apprit qu’il allait se marier avec une moldue. Chacun avait désapprouvé cette idée pour diverses raisons. La plupart s’accordait à dire que si ils avaient des enfants, ces derniers ne pourraient surement pas faire leurs études à Hogwarts à cause d’elle, que le nouveau-né serait un cracmol. Lui savait qu’en réalité, pour une partie d’entre eux, ce raisonnement n’était qu’une excuse pour camoufler leur désapprobation et leur dégoût envers toute personne n’ayant pas d’aptitudes magiques. De plus, aucun d’entre eux n’avait voulu venir pour la naissance de leur premier enfant, il trouvait donc leur comportement plus qu’étrange.

    Pourquoi venait-il pour celle du second ? Il n’apprit que plus tard que tout ce remue ménage n’était due qu’à une prédiction qu’une vieille sorcière aurait fait à sa mère, promettant à cette dernière que son (ou sa) prochain petit fils deviendraient un grand sorcier. Tout le monde avait vu en cela l’espoir de faire connaitre la famille et ainsi, c’était empressé d’être le premier à voir le bébé - comme si cela allait leur porter chance, à eux aussi. Quoi qu’il en soit, une fois arrivé à une intersection, il tourna pour se retrouver face à tout ce beau monde. Néanmoins, ils n’étaient plus dans la même situation qu’au moment où ils les avaient quittés. A présent, certains avaient le visage collé à une vitre - d’une salle autre que celle où sa femme était en train d’accoucher - et d’autres pestaient à tout va. S’approchant de son géniteur, ce dernier s’adressa à lui sans pour autant lui témoigner la moindre importance, comme s’il se parlait à lui même, radotant presque :

      GRAND-PÈRE - « Ça m’étonne pas, je suis sur qu’elle l’a fait exprès ! Juste par esprit de contradiction, si tu veux mon avis, elle sera aussi chieuse que ta mère. »

    Le vieil homme acheva sa phrase à voix basse de manière à ce que seul son fils puisse l’entendre. Ce dernier, perdu dans les déclarations de son père, fronça les sourcils et passa outre. Il n’était pas rare que son géniteur se mette à dire n’importe quoi, ces dires-là ne devaient pas échapper à la règle. Ce n’est qu’en entendant sa mère hurlait de joie : « c’est une fille ! » qu’il comprit le sens des déclarations de son père. Les Brightside avaient toujours fait partie de ces familles qui - malgré tout ce qu’ils essayaient de faire pour y remédier - n’accueillaient toujours que des bambins du même sexe. Une sorte de malédiction si vous voulez. Les Brightside avaient toujours été des hommes et avaient toujours été les pères d’autres garçons. Ainsi, c’était un peu la particularité de la famille, un signe distinctif dont tous les hommes étaient fiers. Pour eux, accueillir une fille dans leur lignée était quelque peu déroutant et remettait en compte beaucoup de leurs fondements. Cela expliquait donc le fait que ce fut les hommes qui eurent cet air dépité, et pour certains, outragés alors que les femmes étaient toutes excitées d’avoir enfin une petite poupée à pomponner.

    S’approchant de la vitre qui le séparait de son enfant, il l’observa en silence quelques instants avant de froncer ses sourcils. Était-ce lui ou les cheveux de son enfant avaient viré au rouge vif ? Se frottant les yeux en mettant cette hallucination sur le dos de la fatigue qui lui embrumait l’esprit, il regarda de nouveau la crinière de l’enfant, toujours aussi flamboyante. S’étonnant, il resta encore quelques minutes là, ébahi avant de voir l’une de ses infirmières s’approchait de sa fille, cherchant à la calmer et bientôt, les cheveux revinrent de leur couleur original, brun. Ca y est, il en était sur, sa fille était métamorphomage. Voilà bien des générations que ce don n’avait pas été transmis car, même s’ils savaient que son arrière grand-père l’avait été, cette capacité semblait avoir disparu. Ou presque car maintenant qu’une autre métamorphomage avait apparut avec, on pouvait espérer le voir plus fréquemment dans la descendance. Une chance qu’ils étaient allés faire naitre l’enfant dans un hôpital sorcier. Aussitôt un rire nerveux s’échappa de ses lèvres : c’était certains, il allait en voir de toutes les couleurs avec celle là ! surtout si elle devait comme Mils, son ainé.
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Bonnie c. Brightside
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MessageSujet: Re: - i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb »   -  i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb » EmptyDim 25 Jan - 16:02


        « everything’s magic; »
          — « on perd la plus grande partie de sa jeunesse
              à coups de maladresse. »

    Ce jour-là, la jeune fille s’ennuyait à mourir. Ses frères étaient chez leurs grand-parents, son père se penchait sur l’écriture d’un nouveau roman puisque son éditeur lui en réclamait un (oui, il est un écrivain plutôt connu parmi les sorciers) et sa mère, elle, était partie travailler au restaurant dont elle était propriétaire.
    A l’âge de six ans, tout enfant normal se serait rué vers la télévision mais ce ne fut pas le cas de Bonnie pour la simple et bonne raison qu’il y avait pas de téléviseur chez les Brightside : son père n’en comprenait pas l’usage et sa mère (moldue, bien qu’elle fasse tout pour faire croire qu’elle vient du monde sorcier) avait toujours pensé que cela abrutissait les gens. Ainsi, elle aurait pu jouer à un jeu de société mais seule, ça aurait été triste ou bien, si elle avait été une bonne élève, faire ses devoirs mais non, ce ne fut pas le cas. De nos jours, elle aurait sans doute opté pour s’entrainer à la guitare (instrument que sa mère veut à tout prix lui faire apprendre) mais à l’âge qu’elle avait, elle n’aurait même pas été capable de la tenir correctement.

    Elle se résolut donc à choisir la seule chose qu’elle voyait de moins ennuyant : la lecture (son père a commencé à lui apprendre à l’âge de quatre et demi). Elle s’était donc dirigée à pas de loup vers la bibliothèque de son père, sachant pertinemment qu’elle n’avait pas le droit d’y entrer. S’approchant des livres, elle effleura la tranche de certains. Il y en avait tellement que ses yeux brillèrent. Ne sachant par lequel elle devait commencé, elle décida de choisir en fonction de la couleur. Choisissant le premier livre bleu qui passa sous ses doigts, elle voulut le sortir de la bibliothèque mais en vain. Les ouvrages étaient si nombreux sur une seule même étage qu’ils étaient quasiment impossible d’en sortir un sans embarquer avec les voisins de ce dernier.
    Ne baissant pas les bras devant cette petite difficulté, elle mit les deux mains à l’œuvre et, tirant de toutes ses forces, elle parvint bientôt à sortir le livre qu’elle voulait mais c’était sans se rendre compte qu’elle avait fait bouger le meuble et qu’en même temps qu’elle était parvenue à avoir l’objet de ses désirs, il avait perdu l’équilibre. La bibliothèque et les livres qu’elle contenait allaient bientôt s’effondrer sur elle sans même qu’elle ne s’en aperçoive. Ce ne fut qu’en levant les yeux qu’elle réalisa la chose.

    Aussitôt prise d’effroi, elle n’eut pas le temps de bouger que des centaines de livre échouèrent par terre dans un bruit fracassant. Par réflexe, elle avait mit ses bras par dessus de sa tête et avait fermé les yeux aussi fort qu’elle le pouvait. Mais, étrangement, rien ne la toucha. Encore sous le choc, elle ouvrit un œil après l’autre avant de se rendre compte que le meuble était suspendu dans les airs, comme par magie, tout comme l’étaient la dizaine de livre qui aurait due lui tomber dessus. Seuls ceux qui ne pouvaient pas l’attendre étaient tombés, les autres lévitaient. N’y croyant pas ses yeux, elle ouvrit légèrement la bouche sous l’effet de surprise. Soit la bibliothèque était ensorcelée… soit elle venait d’utiliser pour la première fois ses dons de sorcière. Mais, elle n’eut pas le temps de se décider car son père venait d’accourir dans la pièce en criant :

      AARON (PÈRE) - « Bonnie ?! Ça va ?! Qu’est-ce que tu as f… »

    Il n’acheva pas sa phrase car lorsqu’il atteint l’encadrement de la porte, il comprit ce qu’il venait de se passer. Sa fille venait d’user ses aptitudes sous l’effet de la peur car si le meuble lui était tombé dessus, il y avait de grandes chances pour qu’elle rejoigne les morts. Seulement, l’enfant, surprise par l’entrée de son père, cessa de se concentrer sur sa peur et la bibliothèque lui tomba dessus. Après quoi, ce fut le trou noir.


    Quand elle se réveilla, elle était dans des draps blancs qui n’étaient pas les siens, dans une pièce qui lui était inconnue et son frère était endormi sur un fauteuil. L’esprit encore embrumé, elle ne remarqua pas tout de suite la bande épaisse qui régnait sur son front, ni l’attèle qui enfermait sa jambe pour l’empêcher de bouger. Elle voulait savoir ce qui c’était passé. Alors, elle saisit la première chose qu’elle attrapa - à savoir le bloc-note de son père qui trainait sur le chevet à côté du lit dans lequel elle était - et l’envoya dans la tête de Mils. Se réveillant en sursaut, elle lui demanda des explications qu’elle ne tarda pas à avoir.
    D’après lui, elle avait - comme elle l’avait deviné - utilisé la magie pour éviter que la bibliothèque ne lui tombe dessus. Mais qu’en se déconcentrant, la magie s’était arrêtée et le meuble lui était tombé dessus (ce passage lui valut quelques remarques et taquineries dont elle se serait bien passée). Après quoi, elle avait perdu conscience et on l’avait amené à l’hôpital où elle se trouvait. Là, elle avait passé trois jours dans le comas. Il ne finit par son histoire car ses parents venaient d’entrer dans la pièce, s’approchant de leur fille, un large sourire aux lèvres en lui demandant si elle avait mal. Elle répondit négativement (hors de question qu’elle avoue avoir mal devant son frère, ou même quelqu’un d’autre) mais les grimaces qui fissurèrent son visage à plusieurs reprises la trahissaient.

    Elle ne chercha même pas à demander d’autres détails car, quand ses géniteurs avaient ouvert la porte, elle avait vu toute la famille dans le couloir. Il était donc clair qu’ils avaient tous été mis au courant du fait qu’elle soit une vraie sorcière en herbe. Oui, tout le monde s’était inquiété du fait que la jeune fille soit une sorcière ou non pour la simple et bonne raison qu’il était déjà arrivé dans la famille que quelqu’un soit un métamorphomage mais n’ait pas la moindre autre aptitude magique (plutôt étrange mais ce cas est aussi très rare). Ainsi, la nouvelle qui avait annoncé réjouissait tout le monde. Elle espérait juste que personne ne fut au courant de la manière dont elle s’était blessée (à cause de son inattention donc) mais ses espoirs furent vite réduit à néant quand elle entendit ses cousins rirent d’elle.
    Quoi qu’il en soit, rassurez-vous : Bonnie ne souffre d’aucunes répercutions suite à cet évènement sinon quelques cicatrices qu’elle gardera à vie et une peur (s’apparentant à une phobie) des bibliothèques… ce qui explique pourquoi elle invente toujours des histoires pour ne pas à avoir à y mettre les pieds quand ses amis lui proposent d’y aller. (étrangement, elle a une faculté impressionnante à inventer des histoires et à les raconter de manière à ce que tout le monde y croit. certains disent qu’elle a hérité ça de son père.) M’enfin, tout cela ne l’empêche pas de toujours apprécier la lecture bien qu’elle préfère tout de même la tenir à distance si vous voyez ce que je veux dire.
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Bonnie c. Brightside
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Bonnie c. Brightside


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MessageSujet: Re: - i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb »   -  i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb » EmptyDim 25 Jan - 16:09


        « born to wild; »
          — « je n’avais aucune raison de fuir la témérité,
            aucune raison de m’interdire la stupidité… »


      GEORGIE (MÈRE) - « BONNIE ! BONNIE ! JE SAIS QUE TU M’ENTENDS ALORS VIENS TOUT DE SUITE !»

    Ça faisait bien dix minutes - si ce n’est plus - que ces phrases résonnaient dans la maison, prenant un peu plus d’ampleur à chaque fois qu’elles étaient prononcés. Le ton fulminant, et agacé de la personne qui l’interpellait ne semblait pas effrayer la demoiselle puisque malgré les menaces qui furent proférer quelques secondes plus tard, elle ne daigna pas se montrer et sa mère persistait à la chercher dans toute la maison. Si seulement elle avait su que l’enfant qu’elle cherchait n’était pas dedans mais dessus, peut-être cela aurait pu l’aider...

    En effet, la jeune fille se baladait sur le toit, avec précaution car elle savait qu’une chute lui serait fatale. Oui, bien qu’encore jeune à l’époque (elle venait tout juste d’avoir huit ans), Bonnie avait conscience du danger ce qui ne l’arrêter guère. Cela ne relevait pas du courage mais plutôt de l’habitude, depuis qu’elle était petite, elle et son frère - d’un an son ainé - répondant au nom de Mils escaladaient la maison et avaient trouvé pour cachette le toit de la maison. Cette dernière, étrangement construite, avait permis aux deux enfants de trouver une cachette parfaite.
    La toiture est semblable à une petite terrasse encadrée par une sorte de barrière de tuile qui d’en-bas, semble être la continuité du toit puisqu’elle est penchée. Seuls elle et Mils avaient connaissance de cette petite terrasse et du moyen d’y accéder : il fallait passer par la chambre de ’Nie, escalader à la gouttière puis, en faisant très attention, arriver à passer par dessus ce petit mur de tuile. Ils avaient découvert vers cet endroit en jouant aux aventuriers, sauf que tous les deux aussi casse-cou l’un que l’autre, au lieu de jouer dans le jardin comme tout bon enfant, ils avaient voulu se construire une cabane… en hauteur.
    Toujours est-il que c’est là-haut que la demoiselle se cachait pour jouer ou encore échapper à ses parents, à la nourrice qui venait lui faire faire ses devoirs et aux horribles robes que sa grand-mère voulait toujours lui faire porter.

    Ce jour-là, elle était préoccupée à faire une bataille de boues avec Marlon qui, au contraire de ses ainés, ne savaient pas comment monté sur le toit bien qu’ils sachent que c’était là-bas que se terrer ses frères et sœurs. Seulement, il n’avait jamais osé avertir ses parents car Bonnie &Mils lui avaient fait promettre de ne rien dire et comme je l’ai déjà dis, chez les Brightside, rien ne compte plus qu’une promesse et Marlon en était conscient.
    Ainsi, la jeune fille avait donc commencé à l’attaquer en jetant sur lui de la boue, consciente qu’il n’arriverait pas à l’atteindre s’il cherchait à l’atteindre en étant en bas, dans le jardin. S’assurant donc la victoire par ce système, elle avait oublié que son petit-frère venait de recevoir son nouveau pistolet à eau qui, pour l’occasion, avait été chargé de boue et de ce fait, il était tout de même parvenu à la toucher une ou deux fois en attaquant au moment propice (à savoir, quand elle allait pour le viser). Mais bientôt leur jeu s’acheva puisqu’en la cherchant, leur mère tomba nez-à-nez avec Mils qu’elle envoya prendre un bain sur le champs.

    En général, Mrs Brightside n’était pas du genre à hurler, ni même à être très exigeante avec ses enfants (enfin, disons que quand ils étaient encore petits, elle l’avait été mais Mils &Bonnie lui en ayant fait voir des vertes et des pas mures, elle avait cessé tout effort pour les remettre dans le droit chemin).
    Seulement, comme tous les deux mois, il y avait ce satané repas familiale qui se déroulait chez eux et pour l’occasion : elle voulait bien se faire voir par sa belle-famille. Et, tout devait paraitre normal et raffiné. Ainsi, tous les objets étranges et farfelus qu’elle se plaisait à collectionner étaient empilés dans le sous-sol (activité à laquelle Mr Brightside se donnait corps et âme depuis six heure du matin). la maison était rangée de font en comble. Rien ne devait trainer, pas même les feuilles volantes sur lesquelles son père écrivait des passages de ses romans à venir et qui, en temps ordinaire, erraient par terre.
    Mais surtout, pour cet évènement, Mrs Brightside insistait pour que ses enfants soient habillés avec classe et, Bonnie était alors forcée de troquer son jean usé, sale et troué à plusieurs endroits ainsi que le tee-shirt trop grand de Mils (elle lui vole souvent ses tee-shirt et pulls, même encore aujourd’hui) et ses converses - qui elles aussi n’étaient plus toutes jeunes - contre une robe rose, à dentelles et froufrous et une paire de ballerine. Et, c’était donc en gémissant, se plaignant que Bonnie se résignait à faire ce qu’on lui disait bien qu’à chaque fois, elle essayait toujours d’y échapper, vainement. Et cette fois-ci, son idée était de rester en haut, sur le toit où on ne la trouverait pas.

    Mais, il y avait un petit détail auquel elle n’avait pas songé : Mils était toujours de paire avec leur mère dans ces moments-là. Bien que lui non plus n’appréciait pas d’avoir à porter tout un tas d’artifices, il adorait embêter sa sœur et la taquiner sur la robe qu’elle portait dans ces moments-là était une de ses activités favorites. C’est donc lui qui alla la chercher - après avoir semé sa mère pour éviter qu’elle ne le voit monter - et, il la traina de force pour qu’elle descende. D’ailleurs, ils manquèrent de tomber mais se rattrapèrent à temps.
    Ensuite, il l’emmena au près de Mrs Brightside qui ne put réprimer un cri aigu quand elle vit l’état dans lequel sa fille était. Son visage était couvert de boue, ainsi que ses cheveux - en bataille - sans parler de ses mains qui elles, étaient égratignées (car à plusieurs reprises, Pin’ était tombée. encore un coup de sa maladresse légendaire) et ses genoux étaient griffés (car lorsqu’ils avaient manqué de tomber, les tuiles avaient râpé ses jambes, parvenant à érafler sa peau).

      GEORGIE (MÈRE) - « Tu es vraiment irrécupérable Bonnie ! Quand apprendras-tu à te comporter comme une jeune fille et non comme un garçon à moitié sauvage ? »

    Murmura la femme, désespérée. Sa fille, qui ne devait pas l’avoir écouté - comme d’habitude -, se contenta d’arborer ce léger sourire innocent et cette moue enfantine qui faisait craquer son époux. En effet, à chaque fois que cette expression marquait le visage de Bonnie, le père de cette dernière ne pouvait lui refuser ce qu’elle demandait (enfin, très rarement). Malheureusement pour elle, cela ne marchait pas avec sa mère qui était loin d’être aussi dupe qu’elle n’y paraissait. En effet, cette belle femme aux airs étranges, comme venue d’un autre monde, n’était justement que bizarre et non totalement stupide. D’ailleurs, c’est l’une des choses dont a hérité, cette tendance à la bizarrerie qui cache une intelligence et un sens de la logique surprenant. Quoi qu’il en soit, faute de la faire céder, l’air qu’avait adopté Bonnie parvint tout de même à faire retrouver le sourire à sa mère qui l’envoya elle-aussi se laver une fois que son petit-frère fut sortit de la salle de bain.
    La journée poursuivit son cours comme à chaque fois que tous les membres de la famille Brightside venaient chez eux… Elle dut porter des vêtements ignobles (selon elle du moins), faire de grands sourires à des gens dont elle ne se souvenait pas, ou à peine (la famille est très grande), faire plaisir aux femmes en se laissant admirer et s’afficher comme la fierté de la famille. Et enfin, sa partie préférée : faire plaisir aux garçons en agissant comme elle le voulait, à savoir : jouer avec des bavboules, monter sur le balais pour enfant que son oncle lui avait apporté, embêter ses cousins avec l’aide de son frère, etc.
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Bonnie c. Brightside
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Bonnie c. Brightside


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MessageSujet: Re: - i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb »   -  i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb » EmptyDim 25 Jan - 16:14


        « witchcraft and wizardry; »
          — « les causes perdues ont quelque chose d’irrésistible. »

      (précision : ### est un élève totalement fictif d’où le fait que je ne lui ai donné aucune identité.)

    Hogwarts, ça y est : elle y était. Elle avait rejoint son grand-frère, Mils, dans l’école de sorcellerie et pouvait à présent agir de la même manière que Mils avait fait avec elle : savoir taquiner le plus jeune de la famille - Marlon - sur le fait qu’il n’y soit pas encore. Seulement, ça faisait seulement un moi qu’elle y était et elle ne connaissait rien de la vie là-bas. Les passages secrets et les raccourcis lui étaient inconnus, elle ne cessait d’oublier les mots de passe qu’on lui donnait ou alors les mélanger, elle arrivait perpétuellement en retard en cours - ça a pas tellement changé ça - parce qu’elle trouvait toujours le moyen de se perdre, etc.
    Bref, c’était une nouvelle comme tous les autres, une première année, le dernier maillon de la chaine alimentaire = Rien en fait. Rien sinon une potentielle cible pour les plus âgés qui pour se prouver qu’ils valent quelque chose s’amusent à martyriser les plus jeunes.

    Et celui qui avait le malheur de porter cette étiquette d’abruti n’était autre que ####. Ce dernier s’amusait à faire peur aux premières années (sans doute parce que lui-même avait subi les mêmes traitements l’année précédente puisqu’il était en seconde année quand Bonnie était en première) mais surtout à les raqueter. Seulement pour ne pas se faire prendre, il avait son plan : il obligeait les premières années qu’il décidait de défier à jouer avec lui à la Bataille Explosive (jeu auquel il est un as), si c’était lui qui gagnait, il lui donnait dix gaillons et dans le cas contraire, c’était l’inverse. (Bonnie est persuadée que l’idée de cette excuse n’est pas la sienne au passage.)
    Étrangement, il ne vint jamais à s’en prendre à Bonnie et elle ignore d’ailleurs pourquoi. (en réalité, Mils l’a envoyé à Ste Mangouste quand ils étaient en première année : depuis ### en a peur, et comme il sait que Bonnie est sa sœur, il évite d’y toucher.) Néanmoins, ce fut l’une de ses amies qui fut victime de ces harcellements de plus en plus fréquent. Impuissante car elle ne pouvait avertir personne (courage mais pas téméraire, elle ne voulait pas retrouver son boursouf suspendu mort à la masse d’une armure comme ça avait été le cas d’un élève qui avait essayé de raconter la vérité aux professeurs), la jeune fille décida tout de même d’agir.

    Misant tout sur son intelligence, mais surtout son excellente mémoire visuelle, pendant un moi entier, elle assista à chaque partie que jouer ### afin de comprendre la manière dont il jouait. Ce ne fut pas bien difficile à saisir, ce qui le fut d’avantage fut de trouver des parades pour empêcher ces techniques de fonctionner. Une semaine plus tard, elle avait trouvé des combines pour bloquer toute tentative du Strangulot à furoncles (c’est comme ça qu’elle le surnomme). Ainsi, elle décida de défier le garçon à son propre jeu - ce qui choqua plus d’un élève parce que personne n’en avait jamais eu le cran. Le second année, persuadé de battre Pin’ à plate couture, accepta le deal que la demoiselle imposa : « il gagne, elle fait ce qu’il veut tout le long de l’année. elle gagne, il arrête d’emmerder les plus jeunes, de les raquetter et les terroriser. ».
    Faut-il préciser qu’ayant travaillé ses techniques à merveille, ce fut la jeune fille qui gagna ? Malheureusement pour lui, afin de faire le malin, ### avait invité toute l’école à voir Miss Brightside se fait ratatiner mais ce fut le contraire. Il eut très certainement la honte de sa vie mais toujours est-il qu’il ne chercha plus à embêter les premières années. Enfin, c’est ce qu’on lui laisse en croire en éternelle idéaliste car en réalité, il continue son business en se contentant d’arnaquer des gens que Pin’ ne connait pas.

    Quoi qu’il en soit, c’est ainsi qu’elle se fit une réputation de dure à cuire. Le petit soucis dans tout ça ? C’est que le jeune garçon était très populaire, connaissait énormément de monde et malgré, il resta très influant malgré sa défaite (bien qu’il perdît quelques personnes de son entourage). Ainsi, tous les gens qui sont encore sous la tutelle ou plutôt le règne de ### se doivent de la détester et la faire chier dès qu’ils en ont l’occasion. Et par ces gens, elle est vite considérée comme une loser.
    Néanmoins, de cette même manière, Bonnie s’est vu offerte la sympathie d’un grand nombre de personne dans l’école. Ainsi qu’une autre réputation d’avocat du diable, prête à tout pour les causes perdues. (bien que ce ne soit pas tout à fait vrai.) Pour une première année, croyez-le : c’est plutôt bien.

    Mais, avec le temps, en deux ans (puisqu’elle débute sa troisième année), ce qu’on pense d’elle a eu le temps d’évoluer. A présent, elle est considérée comme une folle, toujours à l’ouest, faire des conneries ou à embêter ses camarades (gentiment, ou presque). La plupart des élèves (une grande partie du moins) la connaissent, ne serait-ce que par sa réputation. Mais la principale raison pour laquelle on la connait est le fait qu’elle soit métamorphomage : il n’est pas rare qu’un inconnu l’interpelle dans les couloirs pour imiter quelqu’un, ce qui a le don de l’agacer assez facilement. En ce qui concerne les appréciations des professeurs, c’est aussi divers que ce que les étudiants vous diront d’elle. Certains enseignants vous diront que c’est un élément dynamique, qu’on aime avoir dans sa classe et qui a d’excellentes notes (même s’ils sont une minorité) alors que d’autres vous diront que c’est un élément perturbateur de la classe, qu’elle passe son temps à bavarder et qu’elle est quasiment abonnés aux retenues (et autres châtiments). Malgré ces avis très différents, ces notes restent au même niveau pour la plupart des matières.
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Bonnie c. Brightside
- élève de 3ème année -
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Bonnie c. Brightside


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« R<u>ace</u>. : — metamorphomage
« P<u>hoto d\'identité</u>.<center& : -  i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb » 090124111353769159
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MessageSujet: Re: - i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb »   -  i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb » EmptyDim 25 Jan - 16:15


    fiche achevée,
      dites moi s’il manque des informations (:
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Abigail Tweeds
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Abigail Tweeds


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MessageSujet: Re: - i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb »   -  i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb » EmptyDim 25 Jan - 16:35

  • Gryffondors =p.
    Bienvenue j'ai particulièrement aimé ton rp. Il est très fluide (:
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MessageSujet: Re: - i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb »   -  i want to be someone else or i’ll explode. (…) •• « bb » Empty

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