▬ Praesidium Nocturnus;
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 Do you think that there's no one like you ?; apsmd

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Roméo Danforth
Quelle sera ma maison ?
Roméo Danforth


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MessageSujet: Do you think that there's no one like you ?; apsmd   Do you think that there's no one like you ?; apsmd EmptyDim 1 Fév - 21:41


    « Do you think that there's no one like you ? »; featuring Apólleenh.
    The life I think about is so much better than this. I never thought I'd be stuck in this mess.
    I'm sick of wondering, is it life or death. I need to figure out who's behind you


        Vous avez déjà eu ce sentiment fort désagréable de ne pas être au bon endroit au bon moment ? De chercher votre place, votre but à corps perdu sans jamais le trouver ? Vous avez déjà rêvé d'une vie meilleure ? Où les petits problèmes du quotidien n'étaient rien, où tout allait simplement trop bien. Je suis certain que oui. On rêve tous à plus. Et lorsqu'on à ce plus, on rêve à encore plus. L'humain est ainsi fait : éternellement en soif que plus. Plus de pouvoir, plus d'amour, plus de haine, plus d'argent. On ne pouvait changer personne. On blâmait les moldus d'être des monstres sans cœur, mais nous étions tous humains au fond, non ? Certains sorciers par contre étaient à la limite de perdre toute humanité. Mais qui avait imposé les limites ? Oui, qui un jour avait déterminé les limites. Qui avait déterminé ce qui était bien et ce qui était mal ? Était-ce lorsque nos actes blessaient quelqu'un qu'ils étaient considérés comme mal ? Alors si quelqu'un brisait le cœur d'une autre personne parce qu'elle aimait quelqu'un d'autres, s'était mal ? Alors l'amour était quelque chose de mal ? Et si on vengeait quelqu'un ? On lui procurait un bien être inimaginable. La vengeance serait alors quelque chose de bien ?

        Toutes ses pensées et ses questionnements traversaient la tête d'un jeune homme lunatique. Encore une soirée où je fouillais ma salle commune. J'aimais ma salle commune, ma maison, tout ce qui allait avec. Le problème c'était que les gens y étaient trop chaleureux. Tout le monde était rempli d'entrain continuel. Les filles gloussaient sans interruption et moi j'étouffais. Trop de monde, trop de monde. Je n'étais pas associable, simplement mal à l'aise. Je me connaissais, je savais comment je me perdais facilement dans mes songeries et pourtant je détestais que m'y en sorte. Ce soir j'avais donc emprunté les toilettes désaffectées comme refuge. Personne n'y allait. Enfin, quelques fois de filles en mal d'amour, mais je n'en avais pas encore vue une seule ce soir. Je m'étais hissé à l'immense fenêtre, m'asseyant contre le rebord de pierre assez long et large pour que j'y étende une jambe pendant que l'autre se balançait doucement dans le vide. Je regardais les étoiles dehors, encore une fois, perdu dans ma tête.

        Des étoiles, Il y en a tellement. Il y en a trop. Et si je les comptais. Une, deux, trois, qua... Ah, non, je l'ai déjà comptée celle-là. On disait qu'il y avait des milliers d'astres autours de nous. Comment pouvaient-ils le savoir qu'il y en avait des milliers. Peut-être que quelqu'un avait tenté de les comptés, comme moi et c'était arrêté à quatre, déclarant qu'il y en avait de milliers. Je n'avais jamais compris l'expression : les étoiles brillent. Je les regardais ce soir et pourtant, elles n'étaient qu'allumées, immobiles, sans vie. Disait-il de la flamme d'une bougie qu'elle brillait ? Ah le feu, invention brute des moldus préhistorique. Il y a un inventeur à tout. Je me demande bien qui, un jour, c'est aperçu qu'il était un sorcier. Parce qu'il faut bien que des gens soient nés dans certaines circonstances spéciales pour que de telles choses arrivent. Nous n'étions pas apparus par magie. Magie, magie, tu m'ensorcèle. Oh, j'ai trouvé, peut-être que c'est ça. Peut-être que toutes les filles m'ensorcèlent. Elles le font exprès, elles me jettent des sorts pour que je devienne un idiot. Je ne serais pas si idiot finalement ? Mais des toutes façons, qui s'était un jour posé la limite de ce qui était idiot ou pas. Qui avait un jour posé la limite de la limite ? Oh, il me semble que j'y ai déjà songé à ça, non ?
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Apólleenh S. Mc Dómhnail
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Apólleenh S. Mc Dómhnail


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« R<u>ace</u>. : — semi-vampire
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MessageSujet: Re: Do you think that there's no one like you ?; apsmd   Do you think that there's no one like you ?; apsmd EmptyLun 2 Fév - 0:36

    Blàh, Blàh, Blàh. Je n'écoute pas. Je n'entend rien. Tout ce que j'entend sur moi me passen au dessus. je passais dans la salle commune, négligeant le brouahah incessant. je n'écoutais pas. J'en avait assez, j'étais vite lassée. Je tranversa la salle, sans me soucier de ce qui m'entourais. Une chose dans cette salle aurait pu me faire dévier de mon chemin, Skylar, mon amie. A part ça, rien absolument rien, de chez rien. Rien & re rien. Ma meilleure amie. Oui, mais pas l'unique. Je me comptais deux meilleurs amis. Skylar & Roméo. Mon Roméo, oh mon Roméo. Mon meilleur ami. Ce poufsouffle que j'adore. Je l'adorais, j'en était consicente, mais.. Lui, j'avais parfois l'impression qu'il ne m'appréciait pas comme moi, nottament par le fait qu'une fille le faisaible paniquer comme, moi, le silence totale me fichais la trouille. Le soir, je m'exilais. Lorsque le dortaire se clamais, en quête d'un lieu moins silencieux.

    La bruit des gouttes, tombant une à une dans les tuyaux inutilisé des vieux toilettes désaffectué créaient pour moi une symphonie. Une symphonie particulière. Je n'était pas normale, je méprisais le silence. Je sortais le tours, laissant mes cheveux èben qui tombaient en cascade le long de mon dos, vasler au rythme de mes pas. Ma démarche dansante était unique. Oui, je n'avais jamais vu personne marcher de cette façon, j'étais fière de l'avoir mise au point. Surprenante, dansante, active & élégante. Telle était ce que mon père avait dit. Dansate & souriante, je bifurquais à l'angle d'un couloir, où je m'arrêta soudainement. Le silence total me glaçais le sang, mon sang déjà froid par nature. Je regarda de façon circulaire le couloir, à la recherche d'un son, de n'importe quoi.

    Je repis mon chemin, accélérant le pas. Trouvant un nouveau, son, le créant, celui de mes pas pressé sur le sol de pierre du couloir. J'étais au deuxième étage. Je ralenti. J'entend un bruit, celui des toilettes, celui des goutte d'eau stagnante dans les tuyaux, tombant goutte par goutte sur le sol. Je voulu entrer en trombe, réveillé cette vielle mimi géniarde. J'allais entré, quand je vis, assis à la fenêtre. Mon Rom'. Mon meilleur ami. Je jubillais à l'ide de lui faire peur. Je n'étais pas méchante, juste enfantine. j'avnaçais sur la pointe des pieds, dans le silence le plus total. Je me posta derrière lui, de façon à ce qu'il ne voit pas. Avec energie & spontanéité, je lui sauta presque dessus.

    APOLLEENH — « BOUUUHHHH » m'écriais je en rigolant..« Roméo ! » roucoulais je en étouffant un rire, je savais que je le mettais mal à laise. Mais quand il était gèné, Je le trouvais si chou.
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Roméo Danforth
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MessageSujet: Re: Do you think that there's no one like you ?; apsmd   Do you think that there's no one like you ?; apsmd EmptyLun 2 Fév - 1:40


    Ouff... Je suis tellement, tellement, tellement, con. Eu non, c'est pas ça, euu. Perdu. Oui, tellement perdu dans mes pensées que je ne vois rien venir. Je songe à la vie, à la paix, à la guerre. À tout ce à quoi on peut penser. La seule chose à la quelle je ne songe pas c'est mes fantômes. Mon passé que je souhaiterais effacer, tout ce mal, ce sang, ceux qui son partit trop tôt. Archie, mon archie. Soudain, bouuuu. Je sors enfin de ma transe. Une petite boule d'énergie brune, ou plutôt grise pour ma part, me saute carrément dessus. Je sursaute, trop beaucoup. Mon visage se réchauffe, il est carrément bouillant. Et le pire là dedans c'est que je dois la tenir. Je ne peux pas tout simplement la lâchée, je ne supporterais pas qu'elle tombe par terre, par ma faute. Je suis déjà assez con comme ça, pas besoin de plus.

    « Ah, je... Hey. Tu, tu m'as fait peur tu sais. »

    Je tente de lui sourire du mieux que je peux. Cette fille, cette jolie brune. Ma meilleure amie, la seule, la boule d'énergie. Elle est si... Elle est tellement... Elle est trop. Bref, bref, je... l'apprécie. Oui, c'est normal, elle est ma meilleure amie. Je serais idiot si je n'aimais pas ma meilleure amie. Non, non. Nous étions seulement amis, seulement amis. Je sais bien que les radoteurs s'amusaient à dire que nous étions, je ne sais trop quoi, un nous quelconque. Mais non. Nous étions, nous, deux amis. Une fille charmante, belle, magnifique, séduisante et, et, moi. Je ne savais réellement pas comment elle faisait pour me supporter, moi qui me supportais à peine.

    J’étais heureux de la voir. Mais, je ne retrouvais pas mes couleurs, mon gris pâle habituel ne reviens pas. Si je me regardais dans un miroir je verrais les tâches presque noires sur mes joues. Est-ce parfois les couleurs me manquaient. Sans doute, je ne me rappelais même plus des couleurs. Je savais que lorsque j'étais gêné, j'étais rouge. Pourtant je n'avais jamais vu cette couleur. Je savais que j'avais les cheveux châtains blonds et les yeux bleus. Je savais que je portais des vêtements qui allaient bien ensemble. Ma maman n’achetait que des vêtements de couleurs ternes. Des chemises grises, noires, brune, des couleurs que je voyais et uniquement des pantalons sombres. Quand j'étais petit c'était la cata. Je mettais des t-shirt jaune avec un short violet. J'enfilais des chaussures vertes et des bas oranges.

    Bref, tout ça pour dire que j'étais rouge, je bouillais littéralement. Simplement parce que ma meilleure amie était presque couchée sur moi. Parce que son corps était trop près du mien. Son visage aussi. Ses cheveux me touchaient et son parfum me, me, m’étouffait. Elle semblait prendre plaisir à me rendre mal à l'aise. Comme lorsqu'on marchait dans les couloirs tout simplement et qu'elle venait tenir ma main. Encore une fois, mon visage s’empourprait. J'attendais qu'elle se retire, qu'elle s'éloigne un peu, qu'elle me laisse retrouver toute ma tête. J'ai bien dit toute ma tête.


    « Tu, tu, fiche quoi. Humm.. ici ? »
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Apólleenh S. Mc Dómhnail
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MessageSujet: Re: Do you think that there's no one like you ?; apsmd   Do you think that there's no one like you ?; apsmd EmptyJeu 5 Fév - 18:03

    Peur. Je n'avais peur de rien. Rien sauf du silence. La nuit ne m'effrayait point tant qu'un bruit me venait au oreille. Mais la nuit, tapie dans un silence glaçant, je paniquais. Qui l'eut, cru. Moi effrayé par cette chose innocente qu'est le silence. Il m'avait toujours fait peur. Le silence signifiait solitude profonde à mes yeux. Rien n'était pire que la solitude. Elle aussi m'effrayait. Depuis toujouts, depuis des années, j'étais entouré à presque chaques instant, une seconde de solitude me faisait peur & me semblait une éternité. Pour combler la solitude, pour l'éviter, j'étais proche des miens, je ne leur laissais pas une seconde de répis, je ne voulais pas qu'ils s'ennuis, ou se lasse. Je voulais exprimé mon affection, mon affection, oui. Jespérais qu'en leur montrant mon affection, je ne me retrouverai jamais, jamais seule.

    Je lui avait fait peur. Comme souvent. Mais la peur fait partie de la ie. Il n'y a qu'en combbatant ses peur que l'on peut les vaincre. Ces mots me venaient de mon père. Il ne les avaient dit le jour où j'avais refusé d'aller dans le grenier pour aller chercher ma poupée. Celle de ma mère, j'avais peur du grenier, quelque chose y rôdait. je le savait, je n'étais pas humaine, mais je l'avai sentie. Selon mon père, c'tait un fantôme, celui d'une vielle dame qui était là, bien avant nous. je ne l'ai jamais croisé. Mais j'avais affronté ma peur avec courage. Je voulais que Roméo affronte sa peur, je savais ô combien c'était difficile. Mais j'y arriverai, je ne lui avait rein promis, je m'étais promise de faire de lui un homme qui ai confiance en lui, j'avais besoin qu'il soit confiant, j'avais besoin que mon meilleur ami soit sur de lui.


    « Oh pardon ! » fis je faussement désolé.

    Je souris une fois encore. Roméo était une des rare à ne pas se douté de la froideur de ma peau, qui bien sûre n'était rien comparé à celle de mon frère & de mon père. ma température corporelle était aux alentour de trente degré celcius, ce qui pour un humain normal est une crise d'hypothermie, mais pas pour moi. j'écoutais sa dernière phrase et descendiai de son dos. Je repose les pieds à terres, doucement, en silence & avec grace. Je tapota doucement ma jupe d'écolière pour remettre les plis de façon normal & plus esthétiques. Je fis comme si je ne lui portais plusattention, je laissais mariner sa dernière phrase. Je releva les yeux pour le regarder. les deux saphirs qui me servaient d'yeux se posèrent sur lui. Un sourire carnacier s'afficha sur mes lèvres. je n'avais rien d'un prétadeur, mais ce sorurie me faisais rire; moi qui était incapable d'être ien méchante. je ris alors doucement.


    « Je me promène !» dis je avec ma bonne humeur légendaire.

    S'il me connaissais, il savais que je me promnais souvent.. après le couvre feu. Ce n'était pas une nouveauté. Je ne m'étais jamais faite prendre. Non. Dès que le conierge passais, ou n'était pas loin, je le sentais. Son odeur d'humain dépérie me donnais presque la nausée. Certains odeur humaines me répugnaient. Oui. Certains humains sentaient affreusement mauvais, leur sang ne me passionait guère. je n'avais jamais bu de snag humain & selon toute ma famille, il fallait que ça dure. Sur ce point j'étais d'accord avec eux. Mais ils m'avient mis en garde sur le fait que pour certains vampire, certains humains dégagent une odeur face à laquelle on ne saurai résister. Un humain pourrait faire du vampirele plus végétarien qui soit un être cèdant à la tentation, pour une goutte de sang.


    « Et toi, que fais tu là ? » demandais je en me reculant un peu, pour le lasser prendre son aise. Je m'arrêta lorsque mes hanches furent à la hauteur du lavabo.
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