Amaryllis R. Tsurimi - élève de 3ème année - RAVENCLAW.
Nombre de messages : 39 Age : 33 « H<u>umeur</u>. : Toujours joyeuse « R<u>ace</u>. : — metamorphomage « P<u>hoto d\'identité</u>.<center& : Date d'inscription : 24/01/2009
| Sujet: Envie d'une pomme => Libre Dim 8 Fév - 22:41 | |
| Eh oui, encore moi, moi et mon estomac...Il n'y a vraiment que lui pour me réveiler. Il doit être une heure du matin, par la, je n'ai pas regarder ma montre, pas envie de me décourager de melever. Bon qu'est ce qu'il a mon ventre ? Il doit avoir vraiment faim, parceque d'habitude, il ne me réveil pas en pleine nuit. Bon Alors je me décide finalement, je repousse la couverture, enroulant Dolly dans mes couvertures. Je prend sur la chaise ma cape, enfille mes chaussures encore froides et frissonnes, il fait pas vraiment bon de se lever en pleine nuit. J'entend un petit couinnement sous ma couette, je me précipite dessu et enlève la couverture. -Chuuuuut ! Tu va réveiller les autres qui dormes ! Doly, mon petit furet, enfin petit c'est a voir hein, allait se remettre a couinner quand je lui mit la mains sur sa geule. Il me lanca un regard couroucer qu'il avait quand il n'était vraiment pas contente. Et au milieu de la nuit dans se silence pesant, se fit entendre un gros GRRRRRRRRR. -Oula tu as faim aussi toi apparament ! Remarquais-je en chuchotant. - Bon aller je t'emène avec moi ! J'ai ramasser ma baguette, pris mon furet, le posa sur mon épaule et sortit de la chambre. Dans la salle comune, le feu était eteint. Je me pris une table. -Arg ! C'est pas vrai y en avais pas ici hier soir...enfin il me semble ! Bon j'ai vraiment besoin de lumière je crois ! Constatais-je après m'tre prit un fauteuil. -Lumos ! Chuchotais-je. Je plissais les yeux devant cette lumière soudaine, et je sortit dans le couloir en évitant pour une fois habillement un livre qui trainait par terre. Dolly c'était réfugier sous ma cape dans mon cou, je pouvais sentire ses petites griffes par dessu ma chemise de nuit et son soufle chaud sous mes cheveux. Pour passer de la toure aux cachots, un long chemin nous attendait. Dans l'école le silence régnait perturber seuement par le bruit de mes pas. Je me trouvais a environ cinq cent mètres des cuisines, quand j'ai percu d'autres pas. A part une armure et un tableau il n'y avait rien dans le couloir. Je me cacha derrière l'armure, du coté opposés aux pas et éteigni ma baguette, je respirais vraiment doucement pour ne pas me dévoiler. Les pas se raprochaient et j'attendais anxieusement !
| |
|