Elhysana V. Winks
- élève de 1ère année -
GRYFFINDOR.
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Date d'inscription : 24/01/2009
 |  Sujet: — elhysana v. winks,, run free•• Sam 24 Jan - 22:32 | |
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«Sound the bugle now - tell them I don't care
There's not a road I know - that leads to anywhere
Without a light, I fear that I will - stumble in the dark
Lay right down - decide not to go on»
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Bonjour, ou peut-être bonsoir. Je ne sais pas. Je me nomme Elhysana, oui s’est bizarre je sais, je n’ai jamais demandé pour ce prénom. Il faut dire en même temps que ma sœur n’avait pas mieux. Vìctoreenh, elle s’appelle, celui-ci je l’aime bien et je suis contente de l’avoir comme deuxième prénom. Alors ça fait, Elhysana Vìctoreenh et pour la fin, Winks. Elhysana Vìctoreenh Winks, voici mon nom au complet. J’ai hérédité de pleins de surnoms, Elhy, Vicky, Winky. Je me demande même si certains connaissent véritablement mon prénom, bref. J’ai 16 ans, plutôt jeune, vous ne trouvez pas ? Et pourtant, beaucoup me trouve plus mature que j’en ai l’air. Il faut dire aussi, que j’ai un truc, voilà, je ne suis pas tout à fait normale. Si je donne l’impression d’avoir 18 ans, s’est normale, ne vous inquiétez pas, vous n’avez pas de problèmes de vue. C’est moi qui ai un problème. Je suis juste … spéciale.
Alec Winks, voilà comment il s’appelle, mon père lycanthrope. Selon lui, le terme loup-garou est un peu barbare. Haley Wickles, ma petite maman humaine. Une histoire ensorcelante, deux personnes, deux mondes, un amour. Bref, je viens de Scotland, pourtant je ressemble un peu plus à mon père, un indien immigré de l’Amérique. Attention, je ne parle pas des indiens d’Inde, non, les amérindiens. Combien de fois ? Ma mère a dut me raconté cette une histoire plus d’une centaine de fois, elle ressemble un peu a Roméo et Juliette, avec un peu plus de palpitation et de fascination. Mais je ne vais pas vous gaver avec ça, voici une version raccourci de ma belle histoire familiale. Mon père avait vécu la plupart de sa vie dans la vallée du Misissippi, il n’était pas seul, non, depuis sa naissance il vivait le reste des Pawnee, une meute, dans laquelle il était un des descendants, certains, non, même tous, trouvaient qu’il était destiné pour être le prochain chef de la tribu. Et il ne le niait pas, mon père avait l’esprit d’un grand leader. Le Alec, c’est tellement classe de l’appeler par son prénom, enfin, comme je disais, le Alec dont je vous parle, je ne l’ai jamais connu. Il était fier, et puissant, seulement, tout changea, le jour, il s’imprégna. Elle était mignonne, gentille, mais petite, elle ne devait pas dépasser les soixante centimètre, ce n’était qu’un petit bébé. Et il était soumis, mon père était soumis à une petite fille. Son attirance pour elle devenait de plus en plus grande chaque jour, et il eut un moment ou il n’en pouvait plus, il ne voulait pas se soumettre à ses désir en tant que lycanthropes, il voulait demeurer libre de ses choix. Finalement, Alex, enfin mon père à quitté les terres des Pawnee, bien sûr sans rien dire à personne, presque une sorte de fugue. Sa destination fut Scotland. Une région paisible du United Kingdom, c’est ici que ma mère rentre en scène. Elle, tenait un restaurant, il n’était pas très grand, no très connu, s’était un peu le restaurant de la ville, celui que tout le monde connaissait, celui ou tout le monde venait pour prendre son café le matin, accompagné d’une omelette ou d’un bagel. Elle vivait tranquillement, mais l’arrivé d’Alec, chamboula toute sa vie. Tombé éperdument amoureuse de lui, il lui fut difficile de lui résister bien longtemps. De son côté, mon père était transporté par ses émotions, il ne voyait plus le temps passé, cela faisait quelques mois qu’il vivait sa propre vie avec ma mère, une vie heureuse, celle qu’il avait toujours voulut. Mais le passée, son passé la rattrapé. Toute la meute a préféré venir à a rencontre, l’obligeant presque à revenir, sans lui la meute n’avait presque plus d’espoir de survivre, d’autres tribus avaient déjà commencés à trainer dans les parages attendant les bons moments pour s’emparer de leurs terres. Mon petit papa avait le choix entre l’amour et la tentation, la petite fille qu’il avait connue et détesté auparavant avait grandie à une vitesse fulgurante, devenue louve à son tour, elle était devenue belle, et puissante. Et le seul moyen de régler cette histoire était un petit duel entre les deux, une manière permettant réglé le destin de mon père pour de bon. Il faut l’avouer se battre contre quelqu’un contre laquelle ont est totalement vulnérable, pas facile, mais quelque part une force sommeillait en lui, surement celle de ma mère, malgré le fait qu’elle était tenue à l’écart pendant cette petite bagarre au sein de la forêt. Finalement il réussit à vaincre son imprégnation, il s’en était enfin débarrassé, enfin. Sa vie pouvait enfin commencé.
Alors ça vous a plut ? Si oui, eh bien tant mieux pour vous car cela ne s’arrête pas là, et sinon, ben tant pis. De toute façon il y a longtemps vous seriez déjà parti. Normalement, le conte touche à sa fin, mais dans la vraie vie il y a toujours une suite par derrière, s’est vrai, un jeune couple vit un conte de fée, mais ce n’est qu’une question de temps. Mon père et ma mère ont passée la plupart de leur temps à vivre comme un couple heureux, ils voyageaient assez souvent. Même tout le temps, mais quand mon cher papa à apprit la venue au monde de Vìctoreenh, la magie à presque disparue, des distances se sont un peu installés, en fait, comme beaucoup de personnes, il était terrifié, terrifiés à l’idée d’avoir un gosse, d’être père. Mais d’une manière ou d’une autre, ils ont compris qu’il fallait tout recommencer et reprendre à zéro. C’est pourquoi, mes parents sont repartis dans la petite ville ou ils se sont rencontrés. Reprendre le restaurant, et vivre une vie tranquille.
J’ai grandit en Scotland, comme ma sœur, comme mes parents. Dès ma naissance j’étais de la même espèce que mon père, petite je ressemblais beaucoup à ma mère, une petite poupée. Le soir je ne pleurais pas, et je mangeais ma bouillie pour bébé malgré le gout infecte. Disons que mon éducation a été relativement facile, les larmes et les cries ne surgissaient que lors des nombreuses bagarre entre Vìctoreenh et moi. Elle a toujours été ma meilleure amie, ma confidente, mon modèle. Je crois que s'est bien la personne en qui j'ai le plus confiance. Comme je disais à l'époque j'étais plutôt calme, et posée, une copie de ma mère. Je suis intelligente, certes, mais assez bornée. Immature, malgré mon physique assez "adulte", je suis très vite mis à découvert à cause de mon satané ego têtue et irresponsable. Changement radical qui se produisit le jour ou j'appris ma vraie nature. Toujours renfermée dans mon monde, rêveuse, je n'ai pas eut trop de mal à croire les mots de mon père, du genre "lycanthropes, "loup", "sauvage". Tout collait. je l'admet, je suis loin d'être parfaite, et comme toute gamine, j'ai d'abord crut être un genre d e super héros, comme si rien ne pouvait m'atteindre. Mais au fil du temps, j'ai compris les risques auquel j'exposai ma famille. Ma sœur était déjà aussi au courant, beaucoup plus mature que moi, s'est aussi grâce à elle que j'ai compris le danger existant vraiment dans ce monde. Je parle bien sûr du monde moldue, les loups-garous en sont pas spécialement bien vue tout comme les vampires et autres créatures de l'étrange. Ils sont tellement mal vue, que les humains ont commencés à les ignorés, les ignorés tellement qu'au fil des siècles ils ont finit par plus y croire. Je comprend mieux pourquoi mes parents préfèrent vivre une vie normale, ma mère , elle, est resté humaine, et mon père à réussit à contrôler ses pulsions. Moi, je m'entraine, je ne fuis pas, je déteste fuir. Pendant longtemps, je n'ai pas compris pourquoi nous vivions dans la crainte d'être mise à jour. Cela m'insuportait, mais pour le bien de la famille. En bref, je ne recule devant rien. Ou presque. Je tiens se courage de mon père, qui a sut se battre pendant de longues années, mais aussi de ma mère, qui n'a jamais eut père de ce qu'étais mon père. Selon mes professeurs, je suis insolente. Il faut toujours le petit mot pour faire déborder le vase. Combien de fois me suis-je fais renvoyer de cours? Je me suis arrêter de compter après deux semaines, selon ma sœur je suis vraiment une fille à problèmes. Et pourtant sensible, les larmes peuvent très vite monter, comme la colère. Mais aussi les rires. Je me rappelle bien, mon père me disais toujours, que j'avais peut-être un caractère de cochon, mais mon sourire pouvait compensé. La chose la plus importante à mes yeux, est ma famille. je ne pourrait pas vivre sans elle, je l'admire et et l'aime plus que tout. Malgré mon esprit de combattant, je ne pourrais jamais m'en sortir seule, s'est même surement ma plus grande crainte, être seule au monde sans personne, bien sûr en accompagnant clowns et autres choses glauques.
Selon beaucoup de personnes, je suis le portrait craché de ma mère. Enfin, quand j'étais petite, comme je disais, une petite poupée qu'on poserait sur une étagère, on ne jouerais pas avec, on l'admirerait, voilà à quoi elle servirait, à représentée cette chose appelé la beauté en toute gracieuseté. En grandissant, j'ai changé, je suis une sorte de mélange entre une femme belle et unique et un homme solitaire et possessif. Je suis beaucoup de chose, n'est-ce pas? Malgré mon espèce un peu rustre, je suis assez gracieuse. Ma mère a toujours beaucoup aimé la danse, pendant longtemps, elle a regretté ne pas en avoir fait petite, ses parents ne l'avait pas inscrite jeune, alors du haut de ses dix ans elle croyait qu'il était déjà trop tard. Enfin bref, tout de suite, je me suis pris une passion pour cela.Mes parents n'ont jamais eut assez d'argent pour payer des cours, non, ils ne sont pas pauvres, mais le seul studio de la ville coutait plus qu'une blinde. Alors, je pouvais me suffire de les regarder à travers les baies vitrés. Souvent, ma mère me disais qu'il y avait une différence entre danser dans un cours, et danser avec le cœur. j'ai souvent suivit son conseille pour divers choses, laisse toi guider par ton cœur. et finalement le résultat est plutôt pas mal. Mais malgré cela, je reste extrêmement maladroite. La mode est une chose secondaire selon moi, je soigne mon apparences, mais je n'en rajoute pas trop non plus, enfin tout dépend si je veux attiré ou non l'attention de quelqu'un.
L'école, je n'ai jamais vraiment aimé l'école, apprendre, oui, je trouve cela fascinant, de découvrir chaque jour de nouvelle chose. Comme dit ma sœur, ce soir je me coucherais moins bête. Seulement certains cours sont vraiment, mais vraiment ennuyant. Et certains professeurs sont vraiment très bizarre ou très louches. Certains font même peur. Les cours avec des travaux pratiques sont assez amusants, comme les cours de métamorphoses, il y a souvent des petits incidents assez marrant que je ne suis pas prête d'oublier. Mon cours préféré est celui des défenses contre les forces du mal, pourquoi? Parce que plus tard, ou même maintenant j'ai envie de changer le monde. Voilà ce que je veux faire, cela ne fais que un an que je me trouve dans cette école assez étrange, mais je m'y plait bien, je me sens vraiment comme chez moi. La magie, je connaissais, j'en entendais souvent parler dans le journal, pendant que mon père se plaignait des nouvelles reformes faites par le ministère de la magie. Le jour ou j'ai reçu ma lettre, j'étais folle de joie comme mes parents, sautant au plafond. Ma sœur aussi avait été accepté un an auparavant, mais elle était une bonne élève responsable. Pour une fois je suis plutôt douée dans ce monde, eh oui les maths et l'anglais ne me réussissait pas vraiment comparé à ceci. Niveau popularité aussi, ça s'est un peu améliorés, surtout que maintenant que l'âge a été modifiés se mélangé avec les plus âgés n'est plus trop un problèmes. les règles ici sont assez strictes, mais il y a toujours un moyen pour les contourner. Bref, voici ma nouvelle maison, et pour de très longues années, surement les meilleures de ma vie.
Dernière édition par Elhysana V. Winks le Dim 25 Jan - 2:01, édité 3 fois | |
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