Jazz. This is a life. [ That's end.]

Who we are ?

M o n I d e n t i t é

Prénom ;

Jaden Opale

Nom ;

Blueberry

Age ;

19 ans

Lieu de naissance ;

Londres. Ste-Mangouste.

Date de naissance ;

21 Decembre

N i v e a u é c o l e

Matière Favorite ;

Metamorphose

Matière Detesté ;

Histoire de la magie.

Baguette Magique ;

22.5 cm, Souple, Plume d'hypogriffe, Bois de cerisier

Année scolaire ;

Quatriéme.

Idée de métier ;

Jazz ne sait pas encore. Pour l'instant tout cela lui passe au-dessus et elle ne s'en préoccupe pas trop.

& M o i

Pseudo ou Prénom ;

Pauline. Ou Scientist.

Niveau Rp ;

Mes Rp font en moyenne une vingtainne de lignes.

Présence sur le forum ;

2/7 puisque je n'est pas d'ordinateur la semaine.

Code du règlement ;

La nuit est noire tout comme mon âme.

Comment avez vous trouvé le forum ;

Un pur hasard.

Avatar reservé ;

Megan Fox.

J e s u i s

Carractère ;

La folie est de toujours se comporter de la même manière et de s’attendre à un résultat différent.
____Albert Einstein

Intéressant vous désirez une ébauche de son caractère. Vous préférez le côté pile ou le côté face. Rien est tout blanc ou tout noir mais il arrive que le noir et le blanc refusent de se mélanger ou de cohabiter, alors l'un d'eux domine, reste en surface bien visible de tous et l'autre se replit, à l'abri des regards indiscret, il est là dissimulé quelque part derrière. Jazz est faite ainsi.

Commençons par la face visible, celle à laquelle vous serez confronté chaque jour. Une jeune femme de dix-neuf ans, pleine de vie, qui passe son temps à transmettre sa bonne humeur. Son rire rythme ses journées et parfois les votre car il est difficile de ne pas rire lorsque vous entendez son rire enfantin. Sa bonne humeur semble à toute épreuve, elle a sans cesse cette expression mutine et malicieuse qui en fait craqué plus d'un. Elle est d'une grande générosité et d'une gentillesse extrême mais vous savez qu'il ne faut pas abuser, vous savez qu'elle ne se laisse pas marcher sur les pieds. Vous savez qu'elle est capable de réagir au quart de tour. La plupart du temps, elle agit sans réfléchir, elle ne fait pas attention aux conséquences, qui peuvent découler de ses actes et de ses paroles mais à chaque fois elle les assume entièrement. Sa franchise désarçonnante frise l'insolence, et peut parfois être blessante mais au moins, elle a le mérite de dire les choses telles qu'elles sont. Un brin anarchiste, elle est sauvage et attaché à sa liberté, elle suit ses règles et non celle des autres. Elle déteste qu'on lui donne des ordres et le plus souvent, elle fait tout le contraire de ce que vous lui avez demandé juste devant votre nez par pure provocation, pour vous montrer qu'elle est son seul maître. Elle aime aussi le danger, elle a le goût du risque. L'adrénaline est une sorte de drogue, elle aime se mettre en péril, elle aime être sur le fil du rasoir en équilibre précaire pour se rattraper de justesse au tout dernier moment. Elle éprouve aussi ce besoin quasi-constant de bouger, de se défouler. Alors, le sport devient son exutoire, quidditch, footing, danse, sport de combat, tout y passe. Mais, elle aime aussi les livres et ce qu'ils lui apportent, le rêve, l'utopie, le voyage, l'espoir car si elle a les pieds sur terre, elle a aussi la tête dans les nuages. C'est une adolescente, comme les autres, on ne peut pas dire qu'elle aime travailler, on ne peut pas non plus dire qu'elle s'acharne au travail pourtant, tout est là. Elle est une élève excellente qui se contente d'en faire le minimum. Ses notes excusent ses écarts de conduites et ses poussées de rebellions mais ce ne sera pas ainsi tout le temps. Je m'en foutiste? Peut-être un peu, l'avenir n'a pas d'importance pour elle seul le présent compte, elle veut vivre sa jeunesse à fond. Elle fait la fête, s'amuse, sort avec ses amis, fait des conneries, rit, pleure, hurle. Bref, elle vit comme toute adolescente.

Mais il y a cette face cachée,mystérieuse, cette partie d'elle qu'elle se refuse de montrer, que l'on devine parfois mais dont on ose parler. Cette adolescente hantée par les propos de sa génitrice. Elle fait tout pour sortir du lot, pour prouver à tout le monde qu'elle n'est pas une simple fille comme toutes les autres, elle n'est pas banale. Et même, si cela est vrai, il lui reste une seule et unique personne à convaincre, elle-même. La douleur de l'abandon, la fait vivre dans la peur que cela se renouvelle ou la peur du rejet d'une personne à qu'elle aimerait. Elle peut faire preuve d'une grande maturité tout à l'opposé de l'adolescente insouciante qu'elle montre. La maturité d'une gamine qui a fini de grandir dans la tristesse, la colère, la morosité et la culpabilité. Cette gamine est toujours là, en voulant à la terre entière, habité par une rage sans nom, prête à exploser d'un moment à l'autre et qui n'hésiterait pas un instant à appuyer là où ça fait mal. Sa tristesse, sa morosité et sa douleur sont, elles aussi, encore là, l'a rongeant peu à peu, faisant grandir sa haine. Seule sa culpabilité injustifié, s'est en allée, laissant encore un peu plus de place pour sa colère. Et si, elle avait bien des points communs avec sa génitrice, et si, elle pouvait se montrer aussi sadique et mesquine qu'elle. Personne ne le sait, certains se doutent qu'il y a quelque chose mais quant à sa nature, ils ne savent rien ? Jazz est une bombe à retardement, gardant sa rancoeur et sa haine grandissante pour elle, jusqu'au jour où elle explosera.

Physique ;

La beauté est dans les yeux de celui qui regarde.
____ Oscar Wilde

Je ne suis ni de ces filles qui se trouvent laide, ni de celles qui se trouvent magnifique, ni de celles qui se disent trop moche ou trop grosse pour qu'on leur assure le contraire, ni de celles qui sont mal dans leur peau. Je suis moi, tout simplement. Un mètre soixante-dix pour un peu moins de soixante kilos. Un peu plus grande que la moyenne des filles de mon âge, je les dépasse en général de quelques centimètres. Il faut préciser que ma croissance et fini, contrairement à elle. Mon corps a évolué un peu plus vite que la moyenne ( à croire que je n'aime pas faire partie des moyennes), ainsi du haut de mes dix-neuf ans, j'en parais facilement deux de plus.
Peut-être aimeriez-vous plus de détails. Ce sont de long cheveux noirs qui tombent en cascade au milieu de mon dos et encadrent mon visage légèrement ovale. Ondulés, lisses, lâchés, attachés, je les coiffe suivant mon envie et mon humeur. Mes yeux sont semblables à deux saphirs, selon mon père, mais en réalité, ils sont plus clairs encore que c'est pierre précieuse. Je dois avouer que je les aime beaucoup, leur clarté ressort sur mon teint matte. On m'a souvent dit qu'ils captivent car mon regard est profond, il vous sonde, vous transperce, lisant en vous, vous mettant à nue. Certaines personnes disent que « Les yeux sont le reflet de l'âme; », je ne sais pas si c'est vrai mais en tout cas chez moi, c'est eux qui trahissent mes émotions la plupart du temps. Je parviens à dissimuler mes émotions, il n'y a que mes yeux qui me trahissent et parfois aussi les larmes, je dois avoir une glande lacrymal surdéveloppé pour pleurer ainsi. Bref, continuons. Mon nez est des plus normal, situé au centre de mon visage, droit et fin.Mes lèvres sont pulpeuses, le plus souvent étiré en de magnifiques sourires dévoilant de belles dents blanches dignent d'un sourire de pub pour dentifrice comme dirait une amie moldue, mais en fait, étant plus petite ma dentition était loin d'être aussi parfaite. Mes dents de devant se chevauchaient et l'une de mes molaires refusait tout bonnement de pousser. Heureusement, il existe en notre monde des sorts pour arranger tout cela que mon père, médicommage, maitrise à perfection.

Et voila, vous savez tout, enfin presque. Manque un détail, mes tatouages! Une citation de Shakespeare sur mon omoplate, le visage de Marilyn Monroe sur avant-bras et la phrase « There once was a little girl who never knew love until a boy broke her heart » sur ses côtes.

J'a i v é c u

Histoire ;

Les souvenirs rendent la vie plus belle; oublier la rend plus supportable.
____Honoré de Balzac

Debout sur un tabouret, sur la pointe des pieds, les bras tendus, Jazz tentait d'attraper une boite en carton dissimulé au fin fond de l'étagère la plus haute de son armoire. La vision troublée par les larmes qui baignaient ses yeux et roulaient sur ses joues, elle sentait du bout de ses doigts fin qu'elle touchait l'objet tant désiré, mais ne parvenait pas à le saisir. Elle arrivait juste à la déplacer légèrement, la faisant pivoter sur le côté. Dans un dernier effort, elle parvint à la positionner de telle sorte qu'elle put saisir le couvercle pour tirer la boite vers elle. Quelques secondes plus tard, ses deux pieds retrouvaient la stabilité du sol tandis qu'elle avait dans ses bras la fameuse boite : rectangulaire, haute d'une bonne quinzaine de centimètres, elle était colorée dans des tons pastels avec une espèce de motif à fleur. Jazz s'assit à même le sol adossé contre le mur, posant devant elle cette boite, LA boite. Son regard bleu se fixa sur celle-ci, un regard pénétrant et appuyé, ampli d'une certaine hésitation et d'une tristesse profonde qui faisait couler ces larmes qui venaient mourir au coin de ses lèvres, laissant un léger goût salé.

Les bras entourés autour de ses genoux repliés contre sa poitrine et le regard toujours fixé sur la boite, elle se rappelait. Elle se souvenait de ce jour où elle avait mis cette boite et son contenu en haut de son armoire bien au fond. Ce jour-là, elle avait dû monter sur un tabouret deux fois plus grands que celui utilisé cette fois-ci, à l'époque, elle n'était qu'une gamine. Une gamine de douze ans qui souffrait, qui ne savait pas ce qu'elle désirait. Elle voulait oublier mais en même temps si elle voulait garder ses souvenirs, garder l'image de sa mère. Une mère partis trop prématurément laissant derrière elle quatre enfants et un mari. Je vous arrête tout de suite sa mère n'est pas morte. Non, elle est là, quelque part, bien en vie dans un endroit quelconque de cette planète. Mais pour Jazz, cela faisait déjà huit ans qu'à ses yeux elle était morte. Cela faisait huit ans jour pour jour. Elle n'avait, jusqu'à présent, jamais pleuré, jamais versé une larme pour elle. Elle, c'est ce qu'elle était désormais. Un simple pronom désignant une personne quelconque parmi tant d'autre.

Huit ans auparavant...

« Arrêtez de crier ! »

Pour le coup, c'était elle qui avait hurlé. Jazz descendit les escaliers en trombes furieuse, une fois de plus les cris de ses parents retentissaient dans la maison, une énième dispute, une parmi toutes les autres. Les disputes de ses parents faisait partit du quotidien et ce d'aussi loin qu'elle se souvienne, ce n'est pas qu'ils ne s'aimaient pas mais plutôt qu'il s'agissait d'amour à sens unique. Son père aimait sa mère mais sa mère n'aimait personne d'autre qu'elle-même. Elle n'était pas méchante(du moins c'est ce que Jazz voulait croire), juste imbus de sa personne et égoïste mais malgré tout elle avait ses bons côtés comme tout le monde. Du moins, c'est ce qu'elle croyait. Ses frères, eux, avaient fini par rendre les armes, et par admettre qu'elle n'était rien d'autre que leur génitrice. Ils éprouvaient pour elle une certaine rancoeur, ils auraient aimé avoir une mère, ils n'avaient eu qu'elle. Une femme prétentieuse, imbus d'elle-même et dépourvu du sens maternelle. Mais tout cela, Jaden ne l'avait pas encore compris, elle persistait à vouloir y croire, préférant continuer à souffrir avec le semblant de relation qu'elle avait avec elle plutôt qu'admettre elle aussi qu'elle n'avait pas de mère.
Bref, revenons à nos hyppogriffes. Cette fois-ci, les cris de ses frères s'étaient mêlés à ceux de leurs parents, faisant sortir Jazz de ses gonds. Les disputes de leurs parents ne l'atteignait plus mais lorsqu'il s'agissait de toute la famille, c'était différent. Elle était donc sortit en trombe de sa chambre, avant de dévalait l'escalier et de déboulait dans le salon en leur criant de cesser. A son arrivée, un silence pesant ce fit, sa mère fusillait son père du regard, son père furieux détournait la tête, quant à ses trois grands frères ils la regardaient avec une expression de tristesse et de déception qui se mêlait à la colère. Tout cela ne présageait rien de bon.

« Qu'est-ce qui se passe ? Êtes-vous incapable de tenir ne serait-ce qu'une journée sans vous hurler dessus ! »

« Jazz... »

La voix désolée de son frère se tut avant même d'avoir commencé sa phrase, elle venait de comprendre. Ses yeux s'étaient assombris, scrutant avec douleur les valises qu'elle apercevait dans l'entrée par l'ouverture qui faisait communiquer les deux pièces.
Et voilà, nous y étions. Après avoir passé sa vie à faire souffrir les personnes qu'elle était censée aimer, les faisant la haïr un à un, chaque jour un peu plus, elle portait le coup de grâce. Le coup ultime. Le clou du spectacle. Elle achevait son oeuvre avec Jazz et son mari et après cela, tous la haïraient.
Il est étrange de constater que certaine personne ne ressente du plaisir qu'en faisant souffrir les autres, étrange de constater qu'une femme peut être dépourvu de tout amour pour ses enfants. Qu'est-ce qui a fait que nous en sommes arrivés là ? S'agit-il de cas isolé qui pour une raison X ou Y aurait fini par devenir ainsi ? Est-ce la faute de quelqu'un de leur entourage ou tout simplement la leur ? Ou encore, est-ce le monde qui nous entoure, un monde à la dérive, qui les amenés à être ce qu'ils sont ?
Dans le salon des Blueberry, le silence semblait s'éterniser mais il fut bientôt rompu par la voix cassante de la mère de famille mais doit-on seulement l'appelé ainsi.

« Tu viens enfin de comprendre. Il était tant, un troll attardé aurait compris depuis déjà longtemps mais pas toi, tu t'es obstiné. Tu es ridicule et pathétique, Jaden, tout comme ton père. D'une banalité affligeante, tu es à la fois tout le monde et personne, juste une pauvre ratée, pataugeant dans sa médiocrité. Et tu t'obstines à croire que tu pourrais avoir à mes yeux une quelconque valeur, un quelconque attrait. »

Chaque mot frappait, Jazz, en plein coeur. Des coups répétés, chaque fois un peu plus fort pour être sur de faire mal. Et elle, pauvre gamine, elle restait là, la bouche légèrement entrouverte, une expression de douleur peinte sur le visage, figée face à tant de violence et de haine de la part de sa propre mère, de sa part à « elle ». Son père et ses frères étaient, eux aussi, figés, même avec eux elle n'avait pas été aussi sadique et blessante. Alors, pourquoi avec Jazz ? Merlin, seul le sait et aussi celle qu'elle a cru être pendant longtemps sa mère.
Cette dernière balaya la pièce d'un dernier regard de dégoût avant de se diriger vers l'entrée, en ordonnant à une elfe de maison de transporter ses bagages. Enfin, sans même se retourner, elle franchit la porte de la maison, la faisant claquer une dernière fois, un sourire imperceptible étirant la commissure de ses lèvres. Elle avait eu ce qu'elle voulait une sortie fracassante, digne des plus grands, une sortie remarquée et dont on entendrait parlé...ou pas.

Toujours figé au milieu de la pièce, Jazz sentit la main de son aîné se poser sur son épaule, il allait dire quelque chose. Mais elle ne lui en laissa pas le temps, se dégageant avec force et remontant l'escalier quatre à quatre. Une fois dans sa chambre, elle se saisit d'une boite en carton dont elle renversa le contenu sur le bureau et redescendit. Sous les regards interrogateurs de sa famille, elle remplissait la boite de tous les objets qui avaient un rapport avec sa mère. Elle fit cela sans un mot, sans une larme, avec l'énergie fébrile de la haine et de la douleur. Les garçons ne surent pas qu'elle avait gardé la boite, ils ne surent pas ce qu'elle en avait fait mais ils n'avaient jamais osé lui demander.

Retour au present...

Jazz cligna des yeux avec force comme pour tenter d'effacer ses images, se souvenir, mais elle ne parvint qu'à faire redoubler le flot de larmes qui coulait le long de ses joues. Aujourd'hui, on lui avait dit qu'elle lui ressemblait. Non, c'était faux. Elle n'avait rien d'elle, absolument rien d'elle. Tout en en elle venait du côté de la famille de son père : ses yeux, ses cheveux, sa grandeur, sa beauté. Tout. « Elle » n'était rien, elle ne lui ressemblait pas aussi bien physiquement que moralement.

« Jazzy, ma chérie. Tout va bien ? »

La voix inquiète de sa grand-mère se faisait entendre de l'autre côté de la porte ainsi que les chuchotements soi-disant discret de ses frères. Un mince sourire vint étirer ses lèvres, c'était eux sa famille, avec son père. Mais en aucun cas, elle. Il était tant de tirer définitivement un trait sur elle.

« Oui, mamie. »

La jeune fille se releva, prenant la boite et alla ouvrir la porte. Derrière celle-ci, elle trouva ses trois frères et se grand-mère comme elle s'en doutait. Ils restèrent muet face à ses larmes, n'osant pas parlé, ils avaient remarqué la boîte.

« Et si on faisait un feu. »

Ensemble, ils brûlèrent la boite et son contenu mais aussi le journal intime de Jaden. Un geste symbolique. Pendant toutes ces années, elle s'était voilée la face, elle s'était torturée l'esprit cherchant ce qu'elle avait fait. Elle avait pensé que le problème venait d'elle mais aujourd'hui, elle réalisait que ce n'était pas le cas. Elle n'avait rien fait, sa seule faute aux yeux de sa génitrice avait été de naitre, c'est à se demander comment son père avait pu faire pour avoir fait des enfants avec elle. Désormais, tout cela était révolu, bien sûre, il en resterait toujours une trace, il restera toujours la douleur d'avoir était abandonnée mais au moins cela ôtait le poids d'une culpabilité érronée.

Jazz recommencera peut-être un journal ou peut-être pas mais dans celui-ci, elle parlerait de sa famille et non d'elle. Elle décrirait sa grand-mère se rapprochant des quatre-vingts ans et qui chantait du rock moldue à tue-tête avec elle ou qui se déhanchait comme une adolescente de dix-huit ans lorsqu'elle entendait une musique entraînante. Elle pourrait parler de ses frères, qui l'avait toujours protégé, de toutes les soirées qu'ils avaient passés avec elle à faire tout et rien avant de s'endormirent tous dans la chambre de Jazz, ils répondaient présent pour tous. Et, enfin elle pourrait parler de son père, ce médicommage dépressif se plongeant à corps perdue dans son travail pour oublier, cet homme qui la regardait toujours de ce regard bienveillant et rempli d'amour. Elle ne pourrait qu'espérer que lui aussi un jour il comprendrait.

Voila, je pense avoir fini. S'il faut modifier quelque chose, dites-le moi. Je n'ai pas mentionné le fait qu'elle était ou non une animagus, puisque je n'ai pas eu la confirmation que m'a demande était accepté ou refusé

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